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VIRUSSE, le premier malware transmissible à l’homme et aux animaux : un risque épidémique de 300 millions de malades

L’hôpital Natachatenko de Saint-Petersbourg  signale une épidémie de gastro-entérite qui serait transmise par un algoritme transmissible à l’homme via… la souris de l’ordinateur.

Nous avons publié pour le 1er avril une série d’articles insolites, certains vrais d’autres faux. Celui-ci est une pure invention !

Les symptômes  ont été identifiés auprès de 53 victimes,  dans un secteur géographique précis, proche des bâtiments de l’Unité 17, un organisme appartenant aux services secrets russes. Des recoupements ont montré que les malades étaient ou bien des agents de ce service ou des voisins ou des camarades de sports ayant connu une certaine promiscuité avec ces derniers dans les douches et les vestiaires du stade de hockey sur glace de la rue  Romaneski, proche de l’Unité 17.

Un risque épidémique de 300 millions d’humains et animaux domestiques

Tuuli Vedler , correspondant du quotidien estonien Eesti Ekspress a rédigé un post ce jour qui émet l’hypothèse selon laquelle, les malades seraient victimes d’une expérimentation d’attaque informatique qui aurait mal tourné :

http://ekspress.delfi.ee/kuum/eesti-teadlaspere-allakaik-rapase-kutsikaarini?id=81551947

Les chercheurs de l’Unité 17 auraient réussi selon ses recherches à synthétiser le virus de Norwalk, de la catégorie des Norovirus, provoquant chez l’homme et certaines races de chiens, diarrhées et vomissements. La synthèse aurait pris la forme d’un algorithme, téléchargeable par les destinataires au sein d’un courrier d’apparence inoffensive. Ce courrier serait un communiqué de presseconcernant l’expulsion des diplomates russes, émanant directement estime-t-il de Sergueï Lavrov, ministre des affaires étrangères de Vladimir Poutine. A noter que la chaine russe RT a démenti ce matin cette rumeur comme étant un faux grossier.

La transmission de ce virus reste cependant mystérieuse. Selon le journaliste estonien, dont le labrador est tombé malade après avoir léché la souris de l’ordinateur de son maître, l’Unité 17 aurait réussi à assurer la transmission du code malfaisant via le port 357 des PC, assurant la connexion avec le port USB des périphériques comme les souris. Le professeur Tédorov, de l’Université de Tallinn, spécialiste des épidémies, estime qu’un tel virus pourrait infecter 170 millions de personnes et 130 millions d’animaux domestiques en une année.

L’ouverture des algorithmes, le meilleur « anti- Virusse » ?

Compte tenu de cette nouvelle catégorie de malware, on se demande si le fait que le président de la République Emmanuel Macron ait demandé le 29 mars la transparence totale sur les algorithmes était une coïncidence. Ou une mesure de prévention contre cette nouvelle génération d’attaque informatico-biologique ?

Conséquence inattendue, selon Bloomberg, les laboratoires Novartis entameraient des négociations de prise de participation avec un éditeur de solutions de sécurité, peut-être l’éditeur McAfee.

 

Jean Kaminsky