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En fin d'année dernière, un “coup de rabot” a été donné au statut de JEI (Jeune Entreprise Innovante) dans le cadre de la limitation des dépenses publiques, au motif que leur statut pouvait être considéré comme une niche fiscale. “C'est sans doute ce qui est le plus choquant : les JEI sont tout sauf une niche fiscale”, s'indigne Patrick Bertrand. Résultat : une récente étude menée de concert entre l'AFDEL et le Syndicat National du Jeu Vidéo (SNJV), portant sur une centaine d'entreprises, a montré que 80% de ces entreprises ont déjà réduit leurs investissements en R&D, 54% ont limité leurs recrutements liés aux activités de R&D et 17% ont même licencié. Le coût moyen de la réforme par entreprise s'élève à 66 236 € depuis le 1er janvier 2011. L'AFDEL s'appuie sur ces éléments tangibles pour militer en faveur de la réouverture du dossier JEI : les résultats de l'enquête ont été remis à Eric Besson, ministre de l’industrie, de l’énergie et de l’économie numérique, et la réforme a été qualifiée récemment de “balle perdue de la Loi de finances” par le président de la République, Nicolas Sarkozy. L'association reste donc dans l'expectative sur le sujet, mais nourrit de sérieux espoirs.