Accueil Reprise d'activité : boostée par les pandémies

Reprise d'activité : boostée par les pandémies

Le PRA est très médiatisé depuis quelque temps : grippe aviaire et H1N1, tempête Xynthia … C’est la bouée des catastrophes naturelles ou de désordre social, de la grève aux pandémies. Dans ce type de plan, le nombre d’étapes à considérer peut être élevé. Ainsi, dans le cas d’une pandémie, doit-on déterminer quelle population ira travailler ou restera chez elle, sur quel site la production sera-t-elle assuré… tout se calcule en fonction des ressources humaines. D’un point de vue technique ensuite, on doit pouvoir déterminer pour une application donnée en mauvais fonctionnement, les limites acceptables du “mode dégradé”. Il ne faudra pas, enfin, négliger l’importance de la cellule de crise mise en place pour gérer la situation et anticiper son mode de fonctionnement de bout en bout (qui participe, où se réunirat- elle, quels seront les moyens nécessaires à son fonctionnement ?).
Le PRA une fois mis en route, on doit envisager, une fois la situation rétablie, comment opérer le retour à la normale, en synchronisant la production avec ce qui a été fait pendant le temps de reprise d’activité. Là encore, beaucoup de questions se posent … Quoi qu’il advienne, le PRA est variable et se calcule en fonction du site à considérer, du métier, et de la taille de l’entreprise et surtout du… budget. Et c’est en fonction de ces contraintes que l’on peut “cadrer” un projet en définissant les risques et par rapport, précisément, à ces projets. Il ne reste enfin qu’à choisir des solutions techniques en suivant le cahier des charges, puis d’entamer les tests préliminaires avec, de préférence, une équipe différente aux commandes…