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Partage d’expérience – Le Crédit Agricole automatise l’attribution des dossiers de crédit

Gabriel Orio,
A l’initiative du projet, est aujourd’hui directeur commercial des réseaux France.

 

 

En transformant ses processus d’octroi de crédit-bail mobilier, Crédit Agricole Leasing & Factoring a réduit ses coûts opérationnels et obtenu une garantie de complétude et de conformité.

 

La filiale du banquier français traite 60 000 dossiers de financement crédit-bail mobilier par an. Près de 100 collaborateurs se voient confiés la gestion de ces dossiers sur des sites répartis entre Le Mans, Lille et Paris. Dans un contexte concurrentiel, la direction détermine de nouveaux objectifs de croissance : il faut accroître de 50 % l’activité à 5 ans et à effectif constant, améliorer la qualité du service client et faire évoluer les collaborateurs sur les activités à plus forte valeur ajoutée.

L’établissement de financement choisit de confier la capture des documents à un prestataire externe et de s’appuyer sur la solution d’automatisation des processus d’Itesoft pour orchestrer et piloter l’intégralité de la chaîne de traitement. Le projet a été déployé en trois mois. Les 60 000 dossiers annuels sont désormais pris en charge par la plateforme jusqu’au décaissement des fonds.

Les dossiers traités 30 fois plus vite

L’automatisation permet de traiter un dossier en 1 à 2 minutes, contre 30 minutes auparavant, et dans 80 % des cas sans intervention humaine. Des outils de supervision informent clients et partenaires en temps réel de l’avancée des dossiers et de leur complétude. Parmi les autres améliorations constatées, la suppression des doubles saisies, l’envoi automatique de relances en cas de justificatifs manquants, l’affectation dynamique des dossiers ou encore des statistiques pour piloter et tracer l’activité des équipes de gestion.

« Lors de mon arrivée en 2016, j’ai constaté que les processus d’octroi de crédit comportaient beaucoup de tâches manuelles et répétitives telles que des ressaisies d’information. J’ai la conviction que ces modèles de back office appartiennent au passé et qu’il est de notre responsabilité d’employeur de permettre aux collaborateurs d’évoluer vers des postes à plus forte valeur ajoutée », souligne Gabriel Orio.