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Aujourd’hui, l’entreprise dispose de deux grands formats normalisés (normes ISO) : ODF et OpenXML, le premier est soutenu par OpenOffice, le second par Microsoft. Les principales suites bureautiques implémentent ces formats, avec plus ou moins de rigueur. Car, il ne faut pas oublier que de la qualité de l’implémentation dépendra l’interopérabilité du logiciel, voire du document. Un document généré par une mauvaise implémentation de la norme peut provoquer des erreurs et des problèmes d’échanges.
“Il y a toujours un choix à faire. Même si on ne le dit pas fort, les députés (qui utilisent un poste 100 % libre, N.D.L.R.) utilisent OpenXML, pour être en interopérabilité avec l’extérieur” précise Michel-Marie Maudet (Linagora). En entreprise, le choix du format documentaire est sensible, car elle doit rester interopérable avec ses partenaires. Et bien souvent, un format “classique” .doc, voire .docx, restera l’usage courant. Ensuite, bien que le support des formats (normalisés ou non) soit amélioré, il existe toujours des problèmes de compatibilité, de support, d’affichage. “Il y a toujours quelques défauts entre les formats même si le support s’améliore. Il faut faire un choix de raison. On constate d’ailleurs que les documents se simplifient”, poursuit Michel-Marie Maudet. Cette relative simplification des documents aide à l’interopérabilité des documents, en évitant des objets complexes, des mises en page poussées, etc.