Accueil Evoluer sans dépendre de son hébergeur

Evoluer sans dépendre de son hébergeur

La bascule retenue n’est pas un mode big bang mais plutôt une approche progressive : les nouveaux déploiements rejoignent l’infrastructure du prestataire tandis que les applications en place migrent des plus simples aux plus complexes. “Les hébergeurs les plus industriels, disposant de très gros datacentres, sont en fait les plus chers. Nous avons retenu Cheops technology pour son offre économique et pour sa faculté à s’adapter à nos méthodes de travail. C’est important lors de la mise en production de nouveaux programmes en particulier. Il faut pouvoir sortir d’un contrat à tout moment, être en mesure de challenger ses fournisseurs pour ne jamais se trouver en situation de dépendance”, recommande François Tricot. Selon lui, le DSI souhaitant dormir sur ses deux oreilles n’a guère d’autre choix à présent que de combiner aux ressources internes des services cloud et une infrastructure, de type IaaS, taillée pour la reprise d’activités en cas d’incident. L’aide d’un avocat spécialiste de l’outsourcing demeure appréciable au moment d’établir les contrats de services. Puissance de traitement hébergée, capacité de stockage secouru, niveaux de disponibilité et conditions de sortie sont ainsi précisées noir sur blanc. Mieux encore, la gouvernance informatique consiste à obtenir dorénavant “l’assurance d’un dispositif toujours équilibré, adapté aux différents niveaux de services souhaités”.