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La protection d’une chaîne de services web répartie est également assurée, de bout-enbout, indépendamment du nombre de prestataires, d’opérateurs et de réseaux impliqués. Plutôt qu’une protection d’infrastructure, Akamaï assure une protection des services en dirigeant les trafics vers un serveur secondaire ou vers un point de stockage connecté ; ce dernier délivre alors un service dégradé ; par exemple, le catalogue du cyber-marchand restera accessible aux internautes mais pas la prise de commande, provisoirement. “Souvent, lorsqu’une attaque DDoS intervient, le service en ligne du client est bloqué. Il contacte généralement son opérateur qui effectue des tests puis des réglages sur les pare-feu réseaux et applicatifs. C’est un travail de longue haleine. Nous préférons filtrer le trafic de façon distribuée. Nous jugulons ainsi l’attaque en de multiples points. Nous absorbons le trafic douteux, comme si le site le recevait vraiment. Mais, en réalité, le site web du client ne tombe pas et aucun indice n’est transmis aux assaillants”, confirme Bruno Hourdel.