Les départs apparemment volontaires de Pat Gelsinger, le PDG de VMware, et d’au moins 3 cadres importants du groupe au début 2020 surviennent quelques semaines avant l’annonce par l’éditeur de licencier presque 1% de ses effectifs mondiaux.
Alors que VMware vient de perdre Pat Gelsinger, son PDG emblématique, et que ses équipes se préparent à une prise de contrôle renforcée de leur maison-mère, Dell Technologies, le leader mondial de la virtualisation IT a confirmé fin janvier à la presse américaine qu’il prévoit de licencier 1% de ses 30 000 collaborateurs dans le monde. L’éditeur avait déjà procédé à une petite vague de licenciements en janvier 2020.
VMware explique ce nouveau plan de licenciement comme une mesure pour rééquilibrer sa force de travail en fonction de ses nouveaux objectifs pour 2021. De fait, l’éditeur se transforme de plus en plus comme une « as a service software compagny » avant sa prise de contrôle renforcée en 2021 par Dell Technologies.
La rumeur courait depuis une semaine sur les réseaux sociaux, alimentée par les départs apparemment volontaires de Pat Gelsinger, le PDG de Vmware est parti chez Intel comme PDG, et de plusieurs cadres importants du groupe en début d’année ; dont Rajiv Ramaswami, qui est devenu lui le nouveau PDG et président de Nutanix.
