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Selon Deloitte, les entreprises doivent adopter en 2021 « les aspects positifs » du « lieu de travail numérique »

Bureau sur site, travail à distance : quel avenir selon le cabinet de recherche et d’analyse ? Il livre ses réponses dans son12e rapport annuel sur les tendances technologiques.

Alors que le travail à domicile se poursuit dans le monde, les chefs d’entreprise s’interrogent… Le travail à distance deviendra-t-il la règle ou l’exception ? Une main-d’œuvre éloignée en permanence est-elle durable ? Comment la productivité et le bien-être des employés seront-ils affectés? L’innovation souffrira-t-elle de l’absence de relations en face à face  ? Quel sera le rôle du bureau physique ?

Pour le cabinet de recherche et d’analyse, la réponse à ces questions est celle-ci : les entreprises doivent adopter « les aspects positifs » du « lieu de travail numérique« , en particulier en exploitant « les données générées par les outils et les plateformes des travailleurs« .

Le travail à distance, plus qu’un bureau par procuration

Car, soutient-il, « cela peut aider les organisations à optimiser les performances individuelles et d’équipe, et à personnaliser l’expérience des employés grâce à des recommandations personnalisées, permettant au travail à distance d’être bien plus qu’un bureau par procuration réduit. »
Et de conclure qu’à mesure que les espaces de travail sur site et le siège évolueront, les entreprises pourront utiliser ces données pour créer des « bureaux prospères, productifs et rentables qui s’intègreront parfaitement à l’expérience à distance« .

Plus largement, bien au-delà du seul aspect du télétravail, Deloitte estime que « la distinction entre stratégie d’entreprise et stratégie technologique s’estompe – chacun doit informer l’autre« . Les stratèges avisés, assure-t-il, regardent au-delà des capacités technologiques actuelles pour envisager le développement de leur entreprise. Pour les aider, ils se tournent vers des plateformes technologiques dotées d’analyses avancées, d’automatisation et d’IA, afin d’identifier en continu « les forces stratégiques internes et externes, éclairer les décisions stratégiques et surveiller les résultats ».