Provalliance, numéro 1 européen de la coiffure avec 18 réseaux en franchise, gagne du temps et de la fiabilité en interconnectant ses logiciels RH via une plateforme centrale.
Le fonds d’investissement belge Core Equity est devenu en 2021 actionnaire majoritaire de Provalliance, groupe de coiffure fondé par Franck Provost en 2007, avec pour objectifs d’accélérer son développement, sa performance et sa transformation digitale.
Dans ce cadre, il a choisi de connecter ses outils de ressources humaines sur le périmètre français qui concentre la majorité du chiffre d’affaires du groupe, à travers la plateforme spécialisée Peoplespheres. Il a souhaité, d’une part, fiabiliser, automatiser, connecter et moderniser ses outils, de l’autre, transformer le métier des ressources humaines afin de fidéliser ses collaborateurs et en attirer de nouveaux.
Ajout progressif de nouvelles solutions
Il désirait une plateforme d’interconnexion « simple, flexible et intuitive, capable de s’adapter aux spécificités de chaque unité du groupe et de se raccorder à un maximum de logiciels, explique Jenna Pignerol, directrice des ressources humaines de Provalliance. Nous avons choisi en avril 2021 l’éditeur français Peoplespheres. L’interconnexion permet d’éviter les ressaisies. Aujourd’hui nous avons notamment sur la plateforme nos logiciels de gestion des recrutements, des congés et des entretiens annuels. Nous ajoutons progressivement de nouveaux outils pour accompagner notre croissance. Ainsi, nous travaillons actuellement sur la signature électronique et la gestion électronique de documents (GED). »
Au tour des salons en 2023
Le périmètre d’utilisation est pour l’heure le siège du groupe. En janvier 2023, ce sera au tour d’une bonne partie des salons en France, au nombre de 2 000. Les bénéfices du côté des RH sont le gain de temps, la fiabilité du système et le suivi amélioré des données. « L’utilisation mène à une communication plus qualitative avec les collaborateurs, ce qui contribue à la marque employeur », fait remarquer Jenna Pignerol.
Christine Calais
