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La Digital Workplace souveraine mise sur l’ouverture

La Digital Workplace de Jamespot facilite le partage de données, la gestion de projets. L’utilisateur se connecte à un seul et même endroit et y retrouve tous ses outils métier.

La souveraineté ne signifie pas se refermer sur soi-même. Au contraire. Pour Alain Garnier, CEO et cofondateur de l’éditeur français Jamespot, sa Digital Workplace est souveraine car ouverte.

Le point d’inflexion est-il arrivé ? La nécessité de la protection des données, la pression des réglementations européennes, la prise de conscience du secteur public et en particulier des collectivités territoriales, la question des prix… Les paramètres semblent réunis pour que les suites collaboratives dites souveraines prennent leur envol. Alain Garnier, qui sent un changement d’écoute des entreprises et plus particulièrement des organisations publiques, en est convaincu, Face aux systèmes fermés, « ceux ouverts sont gagnants à terme. Le secteur public fera le premier pas, le privé suivra ».

Le contexte est favorable et, en parallèle, les solutions proposées sont parfaitement matures, atteignant le niveau de la concurrence américaine, voire se montrant meilleures sur certains outils. Car la Digital Workplace regroupe une dizaine de grands composants, du drive (stockage) en passant par la visio, le réseau social, les comptes collaboratifs, le système d’idéation, le portail Intranet… Alain Garnier estime ainsi, notamment, que l’intranet Jamespot surpasse Sharepoint pour un usage de com interne par exemple.

 

« Qu’est-ce qui est irrespectueux dans l’approche des grandes plateformes américaines ? C’est quand par exemple elles donnent gratuitement des solutions pendant des années, puis les vendent très cher une fois que les utilisateurs sont captifs. Il n’y a plus de marché, plus de compétiteurs, elles peuvent donc augmenter les prix. »

Alain Garnier, CEO de Jamespot

 

Une Digital Workplace ouverte

La Digital Workplace Jamespot se démarque aussi des suites traditionnelles par son ouverture. Car elle n’est pas uniquement centrée « sur la productivité individuelle, mais aussi sur l’ambition collective ». Elle permet par exemple d’utiliser différents mails, qu’il s’agisse d’Outlook, de Gmail, de SogoMail d’Alinto ou encore BlueMind…
« Jamespot ouvre les possibles. Les suites américaines contraignent à être monocolore, sous prétexte de l’expérience utilisateur. Depuis le début chez Jamespot, nous sommes multivisio, multimail, multidrive… ce qui permet de proposer le meilleur des mondes. »

Autre attente à laquelle répondent les solutions de Jamespot : pouvoir utiliser différents Cloud, traditionnel comme OVHCloud, labellisé SecNumCloud avec 3DS/Outscale ou encore sur un Cloud privé.
« Jamespot est multicloud natif, ce qui est exactement le contraire d’un Microsoft Office 365 qui tourne sous Azure ». Une différence notable pour un DSI qui ne souhaite plus faire de compromis et rester ouvert aux opportunités des différents Clouds.

Jamespot est à la tête du projet CollabNext dans le cadre du plan de relance France 2030, en faveur d’un « renforcement de l’offre Cloud de confiance ». Jamespot a en effet gagné un appel à projet pour les suites collaboratives dans le Cloud et y embarque une dizaine d’acteurs « pour passer une étape supplémentaire ». A cela s’ajoute l’acquisition de Ftopia, une solution logicielle française de partage de fichiers en ligne, qui lui apporte la brique technologique de synchronisation de fichiers vers le Cloud qui lui faisait défaut. Face à un Web actuel centralisé, on peut parler aussi de son travail, via les normes Solid sur la création d’applications sociales décentralisées basées sur les principes des informations liées. L’objectif étant de donner aux utilisateurs le contrôle de leurs données.

La part de marché des Digital Workplaces « souveraines et ouvertes » pourrait passer de 10 % à 20 % dans les 3 à 5 années qui viennent. 

Pour en savoir plus: www.fr.jamespot.com