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Avec le DRaaS (Disaster Recovery as a Service), Antemeta lance le PRA 2.0 pour réconcilier sécurité et reprise d’activité

En complément des solutions de sauvegarde, indispensables, la mise en place d’un dispositif de Disaster Recovery as a Service se révèle un complément idéal pour restaurer l’ensemble du système d’information notamment suite à une attaque par ransomware.

 

Aujourd’hui, pour beaucoup d’organisations, se protéger d’une éventuelle attaque revient bien souvent à ériger des remparts. Il est pourtant désormais avéré que la notion de forteresse inexpugnable n’a pas sa place dans ces considérations, tout simplement parce que, dans le monde de l’IT, le risque zéro n’existe pas ! Trop souvent seule aux avant-postes, la cybersécurité doit impérativement s’adjoindre les services apportés par la protection des données, unique garante d’un retour à la normale. Des Plans de Reprise d’Activité (PRA) avec une réplication du système d’information ont été mis en œuvre mais se sont, in fine, révélés complexes et associés à des investissements trop lourds. Des dispositifs qui n’ont pu être suivis dans la durée, voire tout simplement testés, faute de temps.

Des dispositifs de “premiers secours” faciles à mettre en place

« Sans oublier le fait qu’avant les informations étaient dans des data centers, dans les locaux des entreprises ou dans leur usine. L’information était maîtrisée. Aujourd’hui, elle est répartie chez soi mais aussi chez les autres ! », rappelle Stéphane Colin, Architecte Avant-vente Data Management chez Antemeta. La réponse du fournisseur cloud français? Une solution de sauvegarde managée, pour avoir la possibilité de redémarrer en cas de perte complète du système d’information. « Un premier rempart aux cryptolockers, précise Stéphane Colin. Mais nous sommes là néanmoins, sur une fraîcheur assez ancienne. Quand on parle de deux jours, nous sommes déjà sur quelque chose d’assez éloigné. Cela reste néanmoins une forme de sécurité. Aujourd’hui plus d’une centaine d’ETI sont équipées de cette solution de premier secours.»

« Nous avons fait appel au meilleur de la technologie
et offrons une protection continue de la donnée.
Cela, sans investissements lourds et mécanismes complexes. »

Stéphane Colin

L’innovation : le Disaster Recovery as a Service (DRaas) ou PRA 2.0

Pour Antemeta, l’objectif aujourd’hui est d’être en capacité de retrouver une donnée qui soit de l’ordre de l’heure ou de la seconde. « L’information va très vite, confirme S. Colin. Dans un hôpital, par exemple, où beaucoup de patients sont passés en une journée, l’enjeu est extrêmement important. Pour y parvenir, nous avons fait appel au meilleur de la technologie et offrons une protection continue de la donnée. Cela, sans investissements lourds de type deuxième salle et mécanismes de bascule extrêmement complexes à mettre en œuvre. » Avec la technologie utilisée, Antemeta propose une solution clé en main, abordable et transparente de Disaster Recovery as a Service (DRaaS). Au menu, disponibilité et protection continue des données avec des RPO et RTO rapides avec réplication ainsi qu’une restauration d’applications et une reprise sur journal quasi-synchrones. « A cela s’ajoute une agilité multiplateforme et multicloud indispensable pour gérer la mobilité des charges de travail, la reprise après sinistre et les sauvegardes de, vers et entre les multiples infrastructures, les clouds privés, publics et natifs », précise l’expert. Pour Antemeta, l’objectif est clair : simplicité à grande échelle intégrant orchestration, automatisation et analyse intégrées.

Assurance : une aide précieuse en termes de couverture

Stéphane Colin rappelle également que, dans un contexte où se discutent actuellement les condition d’accès à une “cyber-assurance”, la partie sauvegarde et PRA représente déjà un poids, en général de l’ordre de 30 %, voire plus, du questionnaire global imposé par les compagnies au moment de la souscription et lors de la réévaluation du périmètre de protection du système d’information. « Des entreprises se voient régulièrement refusées par les assurances ou subissent une hausse de leur police parce que le minimum requis n’est pas en place. Avec nos solutions, nous avons pu accompagner un certain nombre de clients dans le maintien du montant de leur cotisation voire de leur contrat d’assurance.», conclut-il.

Pour en savoir plus : www.antemeta.fr/