Pour Intrinsec, l’administration se décline en un sigle CMDB pour Configuration Management Data Base, l’endroit où sont stockées toutes les informations relatives à l’informatique des clients d’où provient la remontée des alertes. Des alertes aussitôt traitées par les administrateurs. Une tâche facilitée par des cartes réseau, applications, processus … sur lesquelles on peut effectuer un “drill down” pour plonger au coeur du problème. Cet outil est également à la disposition du client mais simplement en mode visuel : pas d’action possible de sa part. Côté administration, une seule personne supervise tout un lot de serveurs mais elle n’agit pas réellement en solitaire car derrière il existe trois pôles de compétences, chacun composés d’administrateurs dédiés à des domaines précis. Le premier concerne les bases de données, le second le système et le troisième et dernier, le réseau, avec stockage, virtualisation et sauvegarde. Le point commun entre Intrinsec et d’autres opérateurs de datacenter est le côté propriétaire de l’outil utilisé.
Office Communication Server intègre les fonctions de base même des PBX IP
Alors face à tout ceci, Microsoft peut-il espérer faire le poids et ce, même si son point fort est le marketing ? Le passage en tant que concurrent direct des leaders sur le marché de la téléphonie va être difficile pour ce challenger. Et pourtant,…