Bull dispose maintenant d’une base technologique solide et entend progresser, rien n’étant jamais acquis. “Nous avons une bonne technique, de bons produits et savons assembler des architectures compliquées. Nous allons continuer dans ce sens”, conclut Jean-Pierre Barberis. Bull est avant tout présent en France (52 % du CA) et en Europe (34,5 %) où il s’adresse encore beaucoup au secteur public et aux entreprises de la finance (respectivement 43 % et 15 %), ses clients traditionnels. Il devrait, dans l’avenir se muscler pour lutter contre des IBM et des Oracle pour s’implanter plus solidement aux États-Unis (2 %). L’avenir le dira
Office Communication Server intègre les fonctions de base même des PBX IP
Alors face à tout ceci, Microsoft peut-il espérer faire le poids et ce, même si son point fort est le marketing ? Le passage en tant que concurrent direct des leaders sur le marché de la téléphonie va être difficile pour ce challenger. Et pourtant,…