Ce modèle hybride offre d’autres d’intérêts de par la nature même de son «ADN» en comparaison avec le mode de commercialisation classique “propriétaire” :
- Une plus grande liberté pour le client final pour essayer.
- Une plus grande latitude dans les évolutions apportées à la solution. En effet le produit va bénéficier de 3 leviers d’évolution :
– La possibilité de faire évoluer le produit de manière autonome, le développement spécifique client,
– La possibilité de bénéficier des apports de développement de la communauté,
– Des évolutions planifiées dans le plan produit de l’éditeur.
De plus, le client n’est plus enfermé dans une logique de sable mouvant… : plus il y aura de développement, plus le saut vers d’autres technologies sera douloureux, et si l’éditeur venait à disparaître, “ce qui n’arrive jamais… ou alors aux autres…”, l’Open Source laisse une porte de sortie naturelle,du fait de la mise en oeuvre de composants standard, ce qui n’est pas le moindre des avantages.
L’Open Source permet d’aborder le décisionnel sous un nouvel angle, mais il faut souligner aussi une certaine prudence de la part de l’écosystème informatique. Cette approche est nouvelle et la nouveauté laisse souvent perplexe. De plus, l’Open Source risque d’avoir du mal à se défaire de certaines de ses “étiquettes”.
