
Avec deux datacenters en propre, dont un très récent, la Banque de France envisage d’offrir des services aux autres banques centrales, un site de secours par exemple. Mais, auparavant, elle doit segmenter les trafics est-ouest de ses datacenters, afin de bien contrôler les informations qui transitent. “Historiquement, la Banque de France concevait ses applications pour ses propres besoins, mais de plus en plus, nous sommes amenés à devoir les ouvrir, pour les exposer à l’extérieur, notamment vis à vis du SEBC, le système européen des banques centrales. Nos systèmes traditionnels sont donc en train de migrer vers des Clouds internes”, résume-t-il.








