Les infrastructures de transport de la RATP agrègent des systèmes industriels, de nombreux automates et postes de commandement. Ils sont cruciaux pour assurer la rotation régulière des trains, la sûreté des techniciens et celle des voyageurs franciliens. « On utilise encore des interfaces spécifiques et très peu d’ordinateurs portables sur ce périmètre. Seuls quelques postes de maintenance mobiles servent à la maintenance proactive, pour recharger et réinitialiser les automates programmables. Ils effectuent peu de calculs et de représentations graphiques. Par contre, ce sont des ordinateurs plus ou moins durcis physiquement, voire du matériel standard sous linux ou Windows selon les titulaires des systèmes. Dans le cadre d’habilitations suivies par notre SOC, nous déployons le Bastion de Wallix pour une meilleure traçabilité et pour réaliser une véritable gestion des groupes à privilèges », précise Stéphane Gaudin, responsable cybersécurité de la RATP infrastructures, un service qui compte 450 exploitants pour un transport opérationnel 21h par jour.
