Evidemment, certaines entreprises ont un patrimoine informatique de bonne qualité et dans ce cas il serait inutile de le remettre en cause. Mais il s’agit de cas d’exception. La plus grande partie du patrimoine informatique en place n’a pas résisté au temps, que la stratégie d’informatisation ait été portée par des développements spécifiques et/ou des progiciels. La rigidité, la complexité inutile, la perte de connaissance, le manque d’alignement, les déperditions financières entre les nouvelles fonctions à valeur ajoutée et les maintenances forment des facteurs critiques d’analyse de la non qualité des systèmes informatiques. La France n’est pas la seule concernée. Tous les pays industrialisés ayant entamé leur informatisation durant les années 60/70 sont aujourd’hui face à des bombes à retardement informatiques qui pénalisent leurs activités métier. Une fois le constat posé, que faut-il faire ? Chaque cas d’entreprise est particulier mais trois attitudes nécessaires forment un socle commun.
Petit lexique du BPM
BAM (Business Activity Monitoring) pilotage de la performance opérationnelle au travers du contrôle continu des processus- clés. BPEL (Business Process Execution Language) créé par le consortium BPMI (Business Process Management Initiative), le BPEL propose une représentation XML de la dynamique d’ensemble d’un processus. BPMN (Business…