Les solutions actuelles de déduplication traitent les fichiers à la source ou sur la cible. Parfois même des deux côtés. Dans les deux cas, cela offre une bouffée d’oxygène aux jobs de sauvegarde et de restauration. En fait, chaque entreprise privilégie une approche plutôt que l’autre, en fonction de la nature de ses données, de leur durée de rétention et de l’objectif prioritaire. Cet objectif peut être un plan de reprise ou de continuité d’activité, comme c’est le cas de l’Université Lyon 2 qui a préféré agir sur la cible, en croisant les sauvegardes de deux baies Data Domain sur deux sites distants. Honda France Manufacturing, pour sa part, a gagné une durée de sauvegarde 12 fois plus courte, grâce à Avamar et à sa déduplication à la source
Une machine virtuelle de secours
Au lieu de disposer d’un serveur miroir complet, qui constitue une solution relativement onéreuse, l’idée de créer une machine virtuelle de secours, susceptible de prendre le relais au cas où le serveur principal deviendrait défaillant, s’avère pertinente sur bien des aspects. À ce titre, la…