Accueil Cybersécurité Alexandre Zapolsky (Linagora) victime d’une campagne de dénigrement

Alexandre Zapolsky (Linagora) victime d’une campagne de dénigrement

Alexandre Zapolsky, le président de l’éditeur de logiciels Linagora, a été la cible pendant décembre d’une campagne de dénigrement sur les réseaux sociaux. Ceux qu’il qualifie de « complotistes  » « ont fait de moi leur « Héros » dans une vidéo » dénonce-til.

Dans une vidéo de 12 minutes visible sur YouTube et Facebook, ceux qu’il appelle des « complotistes » reprochent en décembre 2020 à Alexandre Zapolsky, le président de la l’éditeur Linagora, d’avoir trop médiatisé sa maladie début novembre sur les réseaux sociaux et dans les médias, alors qu’il n’aurait  été victime que d’une forme modérée de la Covid-19.

Mais surtout de l’avoir fait comme « un coup de pub pour sa société ou pour lui-même », peut-on lire dans les commentaires autour de la vidéo sur Youtube où il présente ses symptômes. Dans l’espoir nous dit Alexandre Zapolsky d’inciter les gens à prendre la maladie au sérieux.

Mais ce que les détracteurs d’Alexandre Zapolsky lui reprochent surtout dans la vidéo, c’est d’être proche du gouvernement actuel et de véhiculer sa « propagande bidon pour faire peur sur les plateaux TV » concernant la Covid-19. « La vidéo met en cause mon intégrité et fait de graves amalgames entre ma société Linagora, mes engagements citoyens, mon soutien au Président de la République » confirme l’intéressé sur le réseau Linkedin. De fait, Alexandre Zapolsky était candidat En Marche (LREM) lors des dernières législatives, mais quel rapport avec sa maladie ? Quant aux autres allégations plus ou moins gratuites concernant les raisons de son succès professionnel ou le reste, valent-elles le coup d’être relatées ? La réponse est non.

Réponse à ses détracteurs

Alexandre Zapolsky a tout de même pris le temps, et c’est tout à son honneur, de répondre le 28 décembre en vidéo à ses détracteurs (https://t.co/9dnTWzuVoo) dans leur groupe Facebook. Le président de Linagora leur a également répondu sur Linkedin, en insistant sur le fait « que nous ne devons rien lâcher, nous les démocrates. Car abandonner le champ des arguments à ces gens c’est accepter que la démocratie recule. Je n’abandonnerai jamais mes engagements, encore moins sous la menace et la pression ».