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Sage Business Cloud Enterprise Management : l’ERP « nouvelle génération » à l’assaut du mid market

Sage a présenté à ses clients à Paris le 12 avril la nouvelle version de sa solution de gestion intégrée destinée aux entreprises du mid-market et désormais commercialisée sous le nom de Sage Business Cloud Enterprise Management. Le point, en avant-première, sur cet ERP que Sage qualifie de « nouvelle génération ».

On ne dit plus « ERP », jugé restrictif par Sage. L’éditeur parle plutôt de « solution de gestion intégrée » en l’associant au Cloud. Notamment au sujet de Sage Business Cloud Enterprise Management, anciennement connue sous le nom de Sage X3, et que l’éditeur dédie aux entreprises de tailles moyenne et intermédiaire dans les secteurs de l’industrie, de la distribution et des services. « L’entreprise a besoin de solutions flexibles, s’adaptant en permanence au type de projet », explique Isabelle Saint-Martin, chef de marché ERP chez Sage, avec des « problématiques qui peuvent être très différentes de celles, classiques, d’un ERP », indique la responsable, citant la gestion administrative ou encore des processus de gestion des achats…

Isabelle Saint-Martin

« Au-delà du changement de nom de la solution, c’est le changement d’horizon que cela signifie qui compte ». Les enjeux, les congraintes pour l’entreprise ne vont « qu’en grandissant ». L’entreprise « n’a plus le temps d’attendre », en termes de fonctionnalités et de mises à niveau qui doivent se réaliser « de façon perpétuelle ».

 

Une étendue fonctionnelle qui se renforce

L’étendue fonctionnelle de la solution se renforce au fil des versions sur les domaines clés du commerce et de la relation client, de la supply chain et de la logistique, de la gestion industrielle et des services, mais aussi de la gestion financière.
A noter que, certifiée AFNOR pour la comptabilité informatisée et IFRS, la solution bénéficie en 2018 de mises à niveau en ligne avec certaines obligations légales et réglementaires applicables dans l’Hexagone telles que la loi anti-fraude, le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD), les flux dématérialisés de factures avec l’Etat (plateforme Chorus) ou le retraitement des contrats de locations simples au bilan (IFRS 16).
Sage revendique aussi l’innovation technologique, la performance, l’interopérabilité grâce au potentiel d’une plateforme moderne, basée sur « des composants logiciels de dernière génération et ouverte ». Ce qui assure des « dialogues applicatifs » pour « ‘Internet des objets », donne en exemple Isabelle Saint-Martin. Elle rappelle aussi la possibilité de recourir aux extensions applicatives proposées par la market place de Sage Business Cloud, et celle d’exploiter des services connectés.
La responsable évoque également la simplicité d’usage à travers une interface utilisateur web, multi navigateurs, améliorée par des fonctions avancées (de recherche, de personnalisation, de gestion des documents …), l’accès mobile généralisé à l’ensemble de la solution et l’accès à des outils décisionnels intégrés, en libre-service.

 Sage Session Paris
La Sage Session organisée à Paris le 12 avril pour les clients de Sage

Une flexibilité dans le choix de l’environnement

Il y a par ailleurs « une réelle flexibilité de choix sans renoncer au périmètre fonctionnel de la solution », alors que les clients de l’éditeur passés au Cloud sont encore peu nombreux sur les parcs installés. Toute nouveauté est « exploitable indépendamment de l’environnement », rappelle la chef de marché : sur site, dans un Cloud privé ou par le biais de l’offre Cloud public bâtie sur la plateforme AWS. Pour convaincre le marché d’adopter ses solutions, Sage met en avant une étude mondiale menée pour son compte par Forrester Consulting, quantifiant les bénéfices de la solution Sage Business Cloud Enterprise Management, secteur par secteur : un retour sur investissement de 237 % et de 218 % avec un délai d’amortissement de 4 mois, respectivement dans la distribution et l’industrie, et un retour sur investissement de 197 % avec un délai d’amortissement de 5 mois dans les services.
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