myERP.com, l’ERP cloud pour les petites entreprises, arrive en France. Cette application cloud est conçue pour rendre la gestion d’entreprise plus simple et plus rapide. Un an après le succès de son lancement avec Google, myERP.com compte 48,000 comptes sur 144 pays. Aujourd’hui, myERP.com choisit la France pour poursuivre son déploiement, avec une solution cloud en français intégrant les règles comptables du pays.
La Business App de myERP.com offre toutes les fonctions pour gérer son entreprise dans le cloud: CRM, Facturation, Projets, Stocks, Comptabilité en ligne…le tout intégré à la suite bureautique Google Apps.
« myERP.com remplace à lui seul une dizaine d'applications différentes, ruineuses qui ne communiquent même pas entres elles« , souligne Francois Nadal, le PDG de myERP.com. « De réelles économies que l'entrepreneur et son équipe peuvent immédiatement réinvestir dans la croissance de leur activité, au lieu de gérer la complexité d'un système informatique dépassé ».
L’interface de myERP consiste en un champ de recherche unique, à la manière de Google. En utilisant les technologies de reconnaissance du langage et de prédiction, myERP.com comprend ce que les utilisateurs souhaitent faire, par exemple, “ajouter un client”, “facturer mon temps”, “livrer mes commandes« …
Et retrouver ses données devient tout aussi rapide. Ainsi, saisissez le nom d’un client ou le numéro d’une facture (ou seulement quelques lettres ou chiffres) et le tour est joué ! Une innovation qui efface toute la complexité généralement associée aux logiciels de gestion d’entreprise.
“Avec myERP c’est l’application qui comprend ce que vous voulez et non l’inverse, l’utilisateur est roi. Plus besoin de lire de manuel ou de suivre une formation pour l’utiliser. Vous êtes opérationnel immédiatement”, ajoute Francois Nadal.
Le premier ERP gratuit myERP.com est entièrement gratuit pour un utilisateur. La version Premium incluant le support coûte 29 euros par mois et pour deux utilisateurs. La version payante permet aussi de gérer des profils utilisateurs afin de limiter –par exemple- l’accès à une partie des actions.
