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Jean-Claude Laroche, DSI d’Enedis, succède à Bernard Duverneuil à la présidence du Cigref

Le Cigref se réunissait hier soir au Pavillon Gabriel à Paris pour présenter son rapport d’activité 2020/2021. Solutions Numériques y était. Le réseau de grandes entreprises et administrations publiques françaises, qui se donnent pour mission de réussir le numérique, en a profité pour dévoiler le nom de son nouveau président.

En fin de mandat, Bernard Duverneuil, Group Chief Digital & Information Officer chez Elior Group, a laissé sa place à celui qui était déjà vice-président du Cigref, et président de son cercle Cybersécurité, Jean-Claude Laroche.
Jean-Claude Laroche est le DSI d’Enedis depuis bientôt 5 ans, et devra représenter dans le cadre de ses nouvelles fonctions les près de 150 membres de ce grand club des DSI.

Bernard Duverneuil transmet symboliquement la présidence à Jean-Claude Laroche. DR

Dans un discours d’une quinzaine de minutes en fin de soirée, Jean-Claude Laroche a précisé : « C’est dans la continuité des multiples implusions que Bernard Duverneuil a su donner au Cigref que je compte m’inscrire pour l’année à venir. »

Il a indiqué la composition du Bureau comprenant, outre lui-même, Jean-Christophe Lalanne, du groupe Air-France KLM, Corinne Dajon d’AG2R La Mondiale, Stéphane Rousseau d’Eiffage, Christophe Leray du Groupement des Mousquetaires, tous déjà présents au Cigref auparavant, et Bernard Duverneuil « qui accepte de maintenir son engagement au sein du bureau ». « C’est la force du Cigref de mettre en commun nos multiples expériences pour en tirer des réflexions et des orientations qui aident l’ensemble de nos membres dans leur maîtrise de l’informatique et du numérique », a rappelé le nouveau président.

A quoi sert la technologie, quelle est la valeur du numérique ?  « Elle se mesure à son utilité, mais il faut la maîtriser ». « Nous ne devons pas nous laisser importer par la technologie »,  a-t-il dit, mettant l’accent sur le discernement nécessaire à son développement et évoquant les divers aspects philosophiques qui la sous-tendent. « Nous sommes rentrés dans l’âge de raison du numérique ». Voilà posé le cadre éthique de son mandat.