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Alors qu’a lieu la 51e Journée de la Terre, l’ESN Digora se voit en société à mission

Logo de Digora

Malgré les difficultés inhérentes à la crise sanitaire, Digora, une ESN experte de la gestion de données, a recruté une quinzaine de nouveaux collaborateurs et réalisé de bons chiffres en 2020. En 2021, l’ESN dit associer définitivement les conditions de sa croissance à son engagement « pour une économie saine et durable, et le respect des hommes et de leur environnement ». Focus sur ses transformations alors que ce jeudi a lieu la la 51e Journée de la Terre.

L’ESN indique maintenir son cap autour des services managés en particulier Cloud (+14 % en 2020) et l’équilibre de sa croissance (23 M€ de CA). En 2021, elle compte recruter une vingtaines de nouveaux collaborateurs. Dans le cadre de son développement, elle qui se voit en acteur « majeur de la gestion des données en France d’ici 2025 », et « de référence pour le conseil et l’intégration de l’innovation IT auprès des ETI », accompagne ses ambitions d’une transformation en profondeur de ses méthodes. Elle déploie son nouveau centre de services, attend sa prochaine certification ISO 27001, implémente le Lean Management, développe de nouveaux usages métiers dans son Lab Innovation et de  nouvelles offres de sécurité de la donnée.

Mais Digora souhaite se développer en participant à la lutte contre le réchauffement climatique et les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur des technologies. Et se voit en société à mission – c’est la loi Pacte en 2019 qui a introduit la qualité de société à mission permettant à une entreprise de déclarer sa raison d’être à travers plusieurs objectifs sociaux et environnementaux. Une vision que l’on peut mettre en avant alors que ce jeui 22 avril a lieu la 51e Journée de la Terre, honorée dans le monde entier.

Une roadmap RSE étoffée

Gilles Knoery. Digora
Gilles Knoery

De fait, l’ESN étoffe pas à pas sa roadmap RSE, et multiplie les initiatives à impact positif. Par exemple, son nouveau site web a été développé dans le respect des 115 bonnes pratiques recommandées par le Collectif conception numérique responsable (une communauté d’experts et d’organisations privées et publiques en faveur d’une conception responsable des services numériques), portant jusqu’au choix d’un hébergeur certifié ISO 50001 (système de management de l’énergie).
Digora établit aussi cette année une équipe dédiée au calcul de l’impact carbone de ses activités. Cette équipe doit développer un plan d’action contre lq production de CO2 et l’infobésité, tout autant pour elle-même que pour de ses clients.
« Le data management peut et doit devenir plus responsable », assure Gilles Knoery, président et fondateur du Groupe « Notre expertise dans ce domaine nous aide à repenser toute la problématique sous l’angle de l’infobésité. Chez Digora, nous sommes convaincus qu’une consommation et un stockage raisonné de la donnée ne peuvent qu’être bénéfiques, aux organisations comme à la planète. »
À terme, dans le cadre de son service de gouvernance FinOps des coûts du Cloud, Digora souhaite proposer à ses clients une nouvelle grille d’analyse comprenant notamment des éléments de performance extra-financière, comme la réduction de l’empreinte carbone.
Digora indique aussi durcir les critères de sélection de ses prestataires, sous-traitants et partenaires, et privilégier les sociétés ayant elles-mêmes déjà engagé des travaux et des mesures concrètes au titre de la RSE, complémentaires,notamment, à ses propres actions.