Avec Open Lakehouse, Qlik propose d’intégrer la solution de normes ouvertes Apache Iceberg entièrement gérée et intégrée à Qlik Talend Cloud.
Au programme : des requêtes jusqu’à cinq fois plus rapides, une ingestion en temps réel, une interopérabilité de multiples moteurs et une baisse des coûts de 50 %.
Open Lakehouse a la capacité d’une ingestion de millions d’enregistrements par seconde directement dans les tables Iceberg et depuis des applications appartenant au Cloud, SaaS, SAP et aux unités centrales d’un réseau d’ordinateurs. Dans son communiqué, Qlick promet « une faible latence et un débit élevé. »
L’optimiseur Iceberg gère de manière totalement automatique le compactage, regroupement et élagage. Les requêtes devraient être en mesure d’offrir des performances de 2,5 à 5 fois plus rapides, mais également de réduire les coûts de stockage de 50 %.
L’autre gros avantage est son interopérabilité. En effet, l’accès aux données des tables Iceberg se fait en toute simplicité et au choix, à partir des moteurs compatibles comme Amazon Athena, Snowflake, Apache Spark, SageMaker ou Trino.
Open Lakehouse donne une visibilité et un contrôle total sur les informations de sécurité, de performances et de coûts de l’entreprise puisqu’il est intégré en mode natif dans le VPC AWS avec Bring Your Own Compute (BYOC). De quoi rassurer et garantir la confidentialité des données et opérations.
Enfin, la proposition tout-en-un et de bout en bout facilite son utilisation et ne nécessite pas d’opérations supplémentaires. David Navarro, architecte de domaine de données chez Toyota Motor Europe, ne cache pas son intérêt pour cette nouveauté de Qlik : « Les grandes entreprises comme la nôtre ont un besoin urgent d’interopérabilité entre les différentes unités commerciales et les partenaires, chacun gérant sa propre pile technologique et la souveraineté de ses données. Apache Iceberg s’impose comme la clé du partage de données en zéro copie entre des entrepôts de données indépendants des fournisseurs, et l’engagement de Qlik à fournir des performances et un contrôle dans ces paysages complexes et dynamiques est précisément ce dont l’industrie a besoin. »