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« SOS RGPD » pour les PME/PMI : du diagnostic au suivi de la mise en conformité

Offre SOS RGPD
Offre "SOS RGPD" proposée par Hewatrust

Quatre membres du groupement Hexatrust, porte-drapeau de l’écosystème cybersécurité français, s’associent pour lancer une offre nommée « SOS RGPD », destinée plus particulièrement aux PME/PMI afin de répondre à leurs besoins d’accompagnement dans la mise en conformité au règlement sur la protection des données personnelles (RGPD).

Les éditeurs de logiciel Conscio Technologies, Egerie et Wallix Group ainsi que le cabinet d’avocats Iteanu Avocats se sont associés à la société de conseil Nautiluce Consultants pour proposer cette offre qui se compose de trois volets. L’offre de diagnostic sert à créer la cartographie des données personnelles traitée par l’entreprise, évaluer le risque juridique qui pèse sur ses activités de traitements de données et tester les failles de sécurité du système d’information. Celle de mise en conformité, suite logique de la phase de diagnostic, permet de réduire considérablement le risque juridique lié au RGPD, de sécuriser les traitements de données et d’accompagner la structure dans la coordination des rôles de ses collaborateurs. Enfin, une offre de suivi permet à la structure, avec des rendez-vous mensuels réguliers, d’assurer la sensibilisation de ses collaborateurs clefs et de les accompagner dans la rédaction de leurs registres de traitements ainsi que dans l’application des recommandations techniques émises lors de la phase de diagnostic.

Pour Jean-Noël de Galzain, PDG de Wallix Group et président d’Hexatrust « il y a urgence numérique » pour les PME/PMI, sous-traitants, sites d’e-commerce, collectivités territoriales et organismes du secteur de la santé qu’il cible avec cette offre. « Hormis les grands groupes, les administrations centrales et les entreprises des secteurs sensibles, c’est toute la chaine de sous-traitance, les petites et moyennes entreprises et les collectivités territoriales qui sont généralement sous équipées et insuffisamment informées des risques qu’elles prennent« , explique-t-il.