Accueil Business Magellan Partners crée DSA, une nouvelle marque dédiée à la sécurité, du...

Magellan Partners crée DSA, une nouvelle marque dédiée à la sécurité, du conseil jusqu’à l’intégration de solutions

Avec ses différentes entités et filiales (Magellan Consulting, Antiope, Exakis, ASAPpro et Comforth), Magellan Partners, se pose en « digital company » qui a pour raison d’être d’aider les entreprises à transformer leur business model et leur manière de travailler. Pour compléter son offre en matière de sécurité du système d’information des entreprises, elle lance une nouvelle marque, DSA. Frédéric Priem, son nouveau directeur, nous en dit davantage en avant-première.

 

Frédéric Priem
Frédéric Priem dirigeait l’entité dédiée à la sécurité d’Exakis, société de conseil et d’expertise technologique spécialisée dans l’environnement Microsoft, avant de prendre la tête de DSA

Face aux enjeux grandissants de sécurité des SI des entreprises, Magellan Partners a décidé de proposer une nouvelle approche de la sécurité ne se limitant pas au déploiement de solutions techniques. Le groupe a créé DSA (Digital Security Agency) avec un positionnement stratégique sur le conseil et l’audit de sécurité des systèmes d’information (SI de l’entreprise et SI industriel) et d’intégration de solutions de sécurité. L’objectif de DSA est de permettre aux entreprises de réduire leurs risques en opérant dans le monde devenu digital : convergence des SI, réglementations, cybersécurité, digitalisation et accompagnement des utilisateurs. Frédéric Priem nous précise : « Le mois dernier nous avons décidé de « sortir » cette agence sécurité d’Exakis, que l’on souhaite dédiée à l’expertise des technologies Microsoft. Cette nouvelle marque, DSA, pour Digital Security Agency, est transverse à l’ensemble des entités du groupe, et apporte son expertise technique et sa compréhension des problématiques métiers. Elle est complètement dédiée à la sécurité des systèmes d’information.»

L’entité va recruter et devrait doubler ses effectifs d’ici 2017. « DSA regroupe 41 collaborateurs, et nous allons passer rapidement à 45 personnes. On recrute sur toute le France des profils de consultants seniors, qui vont nous aider à développer encore plus vite tout l’aspect conseil autour de la sécurité, de la gouvernance et de la sensibilisation des différents acteurs à la sécurité. Nous souhaitons en effet continuer à développer la compréhension des processus et des enjeux métiers. C’est un axe fort, notamment sur notre agence parisienne où se situe l’enjeu de croissance. »

Intervenir sur l’ensemble des volets de la sécurité du SI

DSA s’appuie sur le savoir-faire d’une quarantaine d’experts, certifiés ISO 27000 et CISSP et sur les principales solutions de sécurité du marché. Elle s’appuie également sur la complémentarité du groupe avec un positionnement conseil jusqu’à l’intégration de solutions et sur la synergie avec les offres d’Exakis, de Magellan Consulting (offres conseil RH ou offres sectorielles comme le secteur de la banque ou de l’assurance par exemple), d’Antiope (conseil en SI) et de Comforth (solutions Salesforce). Frédéric Priem nous donne un exemple de réalisation commune : « Magellan intervient en tant que conseil auprès d’un grand groupe bancaire dans le cadre de son offre Ressources Humaines et l’accompagne dans la définition d’un bureau virtuel RH permettant à l’ensemble des collaborateurs du groupe, au travers d’un portail, d’accéder à ces documents contractuels (ses contrats de travail, ses avenants, tec.). Rapidement est venue la problématique de la signature électronique des contrats de travail. Et c’est là où nous intervenons. »

DSA a donc vocation à intervenir sur l’ensemble des volets de la sécurité du SI, sans oublier les utilisateurs, qui sont partie prenante de la sécurisation des outils utilisés et qu’il faut sensibiliser et accompagner : « Nous plaçons l’utilisateur final au centre. Il doit être sensibilisé et convaincu, à la fois dans la définition des process et la mise en place de solutions fiables, transparentes et ergonomiques qui ne doivent pas aller à l’encontre de la productivité. Sans cela, on n’arrive pas aux résultats escomptés », soutient Frédéric Priem.