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Bfinance rationalise ses processus avec le BPM

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Créé en 1999, bfinance est spécialisé dans le conseil financier, l'optimisation des relations entre ses clients et les institutions financières. Le cabinet emploie une soixantaine de personnes dont 50 consultants, répartis dans 4 bureaux à travers le monde, couvrant une vingtaine de pays. La société travaille exclusivement par appels d'offres, ce qui nécessite un complexe processus interne qu'il fallait pouvoir supporter et optimiser. Quelle solution fallait- il adopter ?

Tout naturellement, le BPM s’est rapidement imposé comme le choix idéal. “Nous avions besoin de formaliser notre processus en le modélisant, puis en l’optimisant” précise d’emblée Benjamin Legrand (Responsable de l’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage). Outre cette formalisation, il s’agissait de pouvoir disposer d’un modèle, le plus fin possible, du processus de travail, fournissant aussi une souplesse d’adaptation et de réactivité. “Au-delà de ce modèle, nous voulons aussi voir plus loin, en prenant en compte les flux, les interactions.” précise M. Legrand.

Chez bfinance, la base du processus est la suivante : le cabinet assiste le client dans la définition de ses besoins, analyse la demande, puis met en place un appel d’offres sur-mesure. Les institutions financières y répondent. Chaque réponse est ensuite soigneusement analysée par les consultants. Enfin, Le rapport final est présenté au client. Le besoin de rationaliser ce processus de travail interne était devenu indispensable, tout en permettant de formaliser les appels d’offres et les données avec l’extérieur. “Il fallait mieux gérer les relations. Les institutions pourront dans quelques mois directement interagir dans ce nouveau processus” poursuit M. Legrand.
Jusqu’à présent, le cabinet s’appuyait essentiellement sur des outils bureautiques de type Office. Les informations étaient le plus souvent saisies dans les feuilles de tableur, ce qui ne facilitait pas le traitement de ces informations et surtout une mise à jour constante de celles-ci. Cela ne permettait pas non plus de faire instantanément un état d’avancement précis des appels d’offres en cours ou à venir.