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Cheops Technology, un CA porté par le Cloud Computing

Cheops Technology, Cloud Builder et Cloud Service Provider, réalise une année fiscale 2013/2014 au-delà de ses attentes. Son chiffre d’affaires augmente de presque 10 %, porté par le Cloud Computing

Un chiffre d’affaire de plus de 63 millions d’euros, en hausse de 9,2 %, et un résultat courant avant impôts en croissance de 50,9 %, Cheops Technology se porte bien. Si le retour de la croissance du CA global à 9,2% est dû au rééquilibrage des activités historiques d’infrastructures en faveur des contrats de Cloud Computing, le chiffre d’affaires de la Division Infrastructure a néanmoins enregistré une croissance de 5,9% porté par le renforcement du partenariat avec HP, EMC² et DELL qui voient dans Cheops un partenaire majeur pour la maitrise et l’intégration de leurs technologies dans les datacenters clients. La Division Modernisation Technologique réalise quant à elle une année conforme aux prévisions prudentes avec l’arrivée à maturité des offres « Replatforming Linux » et « Modernisation FORMS » qui génèrent un funnel important et un accueil très favorable par le marché. Toutefois, certaines décisions prennent du retard, la conjoncture économique restant défavorable à l’investissement des entreprises dans ce domaine. La Division Infogérance & Cloud, a une nouvelle fois répondu aux attentes du management grâce au succès de ses offres iCod, et iCod Healthcare avec un taux de croissance excédant 33 % et la signature de nouveaux contrats de 36 à 60 mois dont certains avec des entreprises de renom (Mutuelle Nationale des Hospitaliers, Transdev, Jennyfer ou Camif-Matelso).

Cette amélioration significative de la rentabilité permise par les contrats de Cloud Computing et services managés associés s’est accompagnée d’un renforcement des fondamentaux de l’entreprise : endettement faible, renforcement des capitaux propres portés à près de 12 M€ et trésorerie à un nouveau plus haut historique de 13,75 M€. En outre, la participation versée aux collaborateurs s’est élevée à 388 K€ contre 274 K€ l’année précédente, contribuant ainsi à la satisfaction et à la fidélité des collaborateurs à l’entreprise.

La maîtrise de l’ensemble des briques d’infrastructure de Cloud

Après l’acquisition du Groupe Ocealis basé à Lyon au mois d’août 2013, l’intégration de cette dernière au sein de CHEOPS va pouvoir commencer. Après une mise aux normes et l’instauration de véritables fondamentaux en gestion qui s’imposent, cette entité est amenée à devenir la Division Réseau-Sécurité-Communication Unifiée de Cheops Technology. Avec ses 4 Divisions Infrastructure, Modernisation Technologique, Réseau-Sécurité, Infogérance & Cloud, Cheops devient l’un des seuls acteurs du marché français apte à maîtriser parfaitement l’ensemble des briques d’infrastructure de Cloud Computing, qu’elles soient « on premises » (sur site client) dans le cadre de son métier de Cloud Builder, comme externes-mutualisées dans le cadre de son métier de Cloud Service Provider avec ses offres iCod et iCod Healthcare.

Les perspectives 2014/2015

Toujours de belles perspectives pour l’entreprise, mais de la prudence sur la Division Infrastructure… L’exercice 2014/2015 devrait être marqué par une croissance toujours très soutenue de la Division Infogérance & Cloud, de l’ordre de 30%. Afin de dynamiser la Division Infrastructure, face à l’atonie actuelle du marché des infrastructures traditionnelles, dans le cadre de son métier de Cloud Builder (s’adressant aux entreprises ne souhaitant pas transférer leur SI dans le Cloud), Cheops va annoncer très prochainement une toute nouvelle offre de Cloud hybride extrêmement permettant l’interconnexion d’un Cloud privé « on premises » avec les grands Clouds publics mondiaux. En intégrant Ocealis, Cheops vise pour cet exercice un chiffre d’affaires supérieur à 80 M€ contre 74 M€ consolidés sur 12 mois pour l’exercice précédent. Enfin, le groupe restera également très attentif aux opportunités de croissance externe pouvant se présenter, mais de préférence à l’étranger afin de commencer son internationalisation.