Refroidissement grâce à la nappe phréatique de Grenoble

Si l’on considère la sécurité physique, Schneider a pris en charge les capteurs et les détecteurs de fuite. Tout au final est piloté par un logiciel que l’on fournit. Un logiciel doté également d’un système “expert” pour la gestion de la capacité et le pilotage du changement, si besoin est… Par exemple, il permet de calculer en cas de rajout de nouveaux racks, la position idéale de façon à optimiser le système de refroidissement. Sur le plan du refroidissement, l’un des facteurs le plus gourmand en dépense d’énergie, il est réalisé au travers de systèmes intelligents de pilotage des allées chaudes et froides entre lesquelles on trouve un confinement thermique. Il faut être au plus proche du point chaud (In Raw) d’où les climatisations disposées à côté des racks. Pour refroidir, le rôle échoit à la nappe phréatique de Grenoble avec une eau pompée aux environs de 13 à 14° et qui se “balade” à 15. La façon même d’exploiter la nappe est green : l’eau qui ressort est envoyée pour réchauffer les bâtiments industriels situés aux alentours. Par conséquent, le cooling naturel est utilisé en complément. Green encore, le repos de cette nappe en période hivernale avec l’utilisation, cette fois, de l’air extérieur pour refroidir le circuit de climatisation du Data Center.”