Le commerce illégal bénéficie aussi des avantages que procurent les nouveaux moyens de paiement digitaux. La Commission australienne de renseignement sur la criminalité (ACIC) souligne dans son rapport 2017 sur le crime organisé en Australie que les monnaies virtuelles, comme le bitcoin, sont de plus en plus utilisées par le crime organisé, car elles peuvent être vendues anonymement en ligne, sans dépendre d’une banque centrale ou d’une institution financière.
Les places de marché du « Darknet » comme Silk Road 3.0 et Valhalla sont utilisées pour faciliter le trafic de drogues illicites, d’armes à feu, de produits chimiques et de matériel impliquant l’exploitation des enfants.
