Accueil Le bon message, à la bonne personne et au bon moment

Le bon message, à la bonne personne et au bon moment

Sommaire du dossier

Le concept de délivrabilité repose d'abord sur le pragmatisme qui accompagne depuis longtemps les campagnes professionnelles : envoyer le bon message, à la bonne personne, au bon moment. Mais il tient compte aussi des évolutions des usages, du marché et de la technologie. Aucune entreprise ne peut renoncer à ses objectifs de développement au seul prétexte qu'elle ne possède pas les bons outils d'e-mailing, ceux qui vont lui permettre d'optimiser le ciblage de ses campagnes et la collecte des contacts, de nettoyer sa base de données, gérer les désabonnements, concevoir le meilleur message possible, tester avant d'envoyer et anticiper les réactions des destinataires… La liste est longue pour décrire les facteurs qui garantissent une campagne parfaite, et donc une délivrabilité maximale. «La délivrabilité est la somme de beaucoup d'éléments», explique Guillaume Fleureau, deliverability & product manager chez Sarbacane Software. «La base est la collecte qui a permis de constituer la liste des destinataires. Avec une liste qui a été achetée, ou pire aspirée sur Internet, il ne faudra pas s'attendre à des miracles car la notion de permission est primordiale pour la délivrabilité. En effet, il existe de nombreux indicateurs qui permettent aux messageries et solutions antispam de détecter les envois non sollicités : les NPAI (adresses invalides), les plaintes générées par l'envoi, les désinscriptions massives, la présence d'adresses pièges (spamtraps). Le comportement des destinataires est un facteur clé et peut mener au blocage pur et simple de l'expéditeur. D'où l'importance d'envoyer des e-mails véritablement sollicités».